Junge hält sich schützend die Hand vor sein Geschlecht

Genitalbeschneidung schädigt – auch Knaben

Pétition contre la circoncision

La pétition contre la circoncision a déjà récolté plus de 700 témoignages (chiffre en novembre 2018), parmi lesquels de nombreux professionnels dans le domaine médicale et juridique. Cette pétition est toujours ouverte et est ouverte à toute personnes majeures. Si vous souhaitez nous soutenir, merci de compléter le formulaire ci-dessous.

Voici ICI un document regroupant tous les témoignages déjà reçus.


Préambule

  • Le droit à l’intégrité physique et donc à l’intégrité génitale s’applique toutes individus, y compris les garçons.
  • L’affirmation selon laquelle une circoncision prophylactique des organes génitaux présente des avantages est grotesque. Personne ne supprime par précaution une partie saine et importante du corps.
  • Les organes génitaux de toute personne sont extrêmement sensibles et intime, ce qui justifie une protection individuelle. Toute intervention chirurgicale, le cas échéant, doit être prise en compte en dernier recours, et cela vaut également pour les garçons.
  • Nous demandons que les autorités et les responsables appliquent les lois pénales en vigueur et mettent en œuvre les dispositions relatives aux droits de l’homme, et plus spécifiquement à appliquer le droit des enfants, afin que tout individus soient protégées de dommages génitaux au niveau physiques, psychiques et psychologique.

Aucuns avantages

Il est scientifiquement prouvé que la circoncision, sans justifications médicales, n’apporte aucun bien fait pour la santé, tant au niveau physique que mental.


Dommages graves et irréversibles

En plus de ne représenter aucuns avantages sur la santé, la circoncision peut produire des dommages grave et irréversibles

  • Sensibilité du membre réduite voir même inexistante. On peut donc parler de handicap lors de rapport sexuels
  • Risques de complications durant l’opération.
  • Douleurs, traumatismes physiques et psychologique a court, moyen et long terme.

Egalite de droits entre hommes et femmes

Les organes sexuels féminin et masculin ne différent que par leur apparence extérieure, mais leur structure et objectifs de bases sont identiques : faculté de reproduction, sensibilité, organe intègre du corps humain, source de plaisir durant les rapports sexuels. Par conséquent, les organe génitaux féminins et masculins sont équivalents en droits. Actuellement, en Suisse, le code pénal suisse ne reconnaît d’infraction que pour la mutilation d’organe sexuel féminin (article 124 code pénal). La circoncision pourrait cependant être considérée comme une lésion corporelle grave au sens de l’article 122 du code pénal suisse. Cela signifie qu’il n’est actuellement pas reconnu comme une mutilation. Nous souhaitons une modification donc de l’article 124, afin qu’il s’applique également au sexe masculin.


Sans nécessité médicale, la circoncision constitue une violation juridique

Les circoncisions pratiquées sans nécessité médicale impérative constituent une violation des dispositions du droit pénal, de la Constitution fédérale, de la Convention sur les droits de l’homme et des droits de l’enfant, ainsi que des principes éthiques médicaux fondamentaux. Par conséquent, la circoncision sans motif médicaux, est injustifiable et inadmissible.


Demandes aux autorités

Avec nos signatures, témoignages et soutiens, nous demandons donc aux autorités d’agir avec les actions suivantes :

  • Appliquer les dispositions pénales en vigueur relatives à la protection des enfants (art. 122/123/127 du code pénal suisse - atteinte à la personne / danger pour la santé).
  • Garantir que le droit à l’intégrité physique selon la Constitution soit également appliqué aux garçons (articles 10 et 11 de la Constitution fédérale).
  • Se conformer à l’obligation qui leur est imposée par la Convention relative aux droits de l’enfant, qui stipule notamment que “les États parties prennent toutes les mesures efficaces voulues pour abolir les coutumes traditionnelles portant atteinte à la santé des enfants” (article 24 de la Convention des Nations Unies relative aux droits de l’enfant).
  • Modification de l’article 124 du code pénal suisse, afin qu’il n’y est plus de distinction entre sexes et que la circoncision soit reconnue comme une mutilation génitale.

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